Geoffrey Jourdren : « Ému et fier » | MHSC Foot , billetterie Montpellier Hérault, mhsc match, match Montpellier, led publicitaire, panneau publicitaire led

Geoffrey Jourdren : « Ému et fier »

Durant toute la saison, mhscfoot.com vous invite à revenir sur chaque match de cette année mythique. Aujourd’hui, entretien avec Geoffrey Jourdren, qui avait été décisif lors de la réception de Bordeaux (25e journée, le 25 février 2012). Flashback, dans un long entretien, plein de sincérité.  

LE MATCH CONTRE BORDEAUX

il fallait faire fructifier le bon point ramené du parc des pronces en enchaînant par une victoire à domicile contre Bordeaux, chose que nous sommes parvenus à faire

Geoffrey. Avant d’évoquer plus largement le titre de Champion de France, que t’inspire cette réception de Bordeaux du 25 février 2012 ?
La semaine précédente, nous avions ramené un bon match nul 2-2 du Parc des Princes face au Paris-Saint-Germain qui était à la lutte avec nous pour la première place. Cela constituait un très bon résultat pour nous. Maintenant, il fallait faire fructifier ce bon point en enchaînant par une victoire à domicile contre Bordeaux, chose que nous sommes parvenus à faire de fort belle manière.

Comment cette rencontre s’était-elle déroulée ?
Le terrain n'était pas aussi beau que ce qu'il est aujourd'hui, la pelouse était un peu compliquée. Nous avions dû batailler mais nous avions réussi à faire la décision sur un coup de pied arrêté très bien tiré par Marco Estrada et bien repris par John Utaka, pour une victoire 1-0. C'est un score qui nous avait pas mal réussi cette saison-là, puisque nous nous étions imposés 12 fois sur ce score.

Sur un plan personnel, tu avais aussi réalisé une belle performance jour-là…
Cela fait partie de mes matchs les plus aboutis de cette saison-là. J'avais réussi à faire deux ou trois arrêts décisifs, ce qui avait permis de concrétiser le travail de toute l'équipe. Je me souviens notamment du face-à-face gagné quand je sors au-devant de l'attaquant bordelais Nicolas Maurice Belay. Sur le coup, au moment du centre, je sais que le terrain est difficile et que s'il reçoit le ballon, il ne pourra pas le reprendre une touche et qu'il sera obligé de contrôler, car le ballon risque de rebondir juste devant lui. Je profite de cet instant pour sortir le plus vite possible devant lui et prendre un maximum de place pour l'empêcher d'avoir un angle de tir. C'est finalement ce qui se passe et j'arrive à détourner sa reprise en mettant mon genou en opposition et le ballon finit en corner. Il avait eu une autre opportunité en tout début de match et, là aussi, j'avais réussi à sortir vite pour l'empêcher d'ouvrir le score

LA SAISON

nous avons donné du bonheur aux gens. Quand tu es sportif, c'est sans doute ce qu'il y a de plus important

Quelle est la première image qui te vient en tête lorsqu'on évoque l'année du titre ?
La première image, c'est la Place de La Comédie avec le moment où on lève le trophée tous ensemble. Il y avait du monde à perte de vue, la Place de La Comédie était bondée, c'était vraiment très fort… Sur le coup, tu n'as pas franchement le temps de savourer. Je réalise plus aujourd'hui que ma carrière est terminée, ce que nous avons vécu et notamment ce jour-là. Quand tu es joueur, tu n'as pas le temps de savourer, il te faut déjà évoquer la saison prochaine, les matchs qui arrivent, la préparation, te remettre des objectifs, donc tu n'as pas le temps de profiter. J'ai eu la chance de vivre des moments magnifiques dans ma carrière, de gagner quelques titres aussi que ce soit avec Montpellier mais aussi en équipe de France de jeunes (champion d'Europe U19 en 2005), et ce n'est qu'aujourd'hui que je savoure réellement ces moments-là parce que j'y repense en étant complètement relâché. Quand je me balade en famille sur la place de La Comédie, il m’est impossible de ne pas repenser à ce moment fabuleux et celui de la remise du titre de champion de France. Il m’arrive encore souvent de croiser des supporters du club qui nous remercie pour ce titre : ça me rend profondément fier et heureux. Quand on voit que les gens sont encore marqués, 10 ans après, par ce titre, cela te fait comprendre qu'avec ce groupe, nous avons vraiment donné du bonheur aux gens. Quand tu es sportif, c'est sans doute ce qu'il y a de plus important. J'y suis encore plus sensible aujourd'hui qu'il y a 10 ans.

Quand on te dit que ce titre a déjà 10 ans…
J'ai l'impression que c'était hier (sourires). Ce titre, ce sont vraiment des moments de joie indélébiles, quelque chose d'extraordinaire.

Vito (Hilton) avait parlé de coupe d'Europe et même de titre dès ses premières interviews. Ça m'avait surpris et, au final, il avait raison

Quand on évoque les images du titre, on se remémore forcément ta réaction sur le but de la victoire contre Lille où tu te mets à genoux en implorant le ciel, comme si tu ne croyais pas à ce qui était en train d'arriver…
C'était irréel de voir cette victoire, le bonheur des gens, de se retrouver à un point du titre de champion de France alors que Montpellier n'était pas programmé pour ça… C'est pour ça que j'ai réagi de cette façon. C'était vraiment magique. Je suis croyant et je suis convaincu que cet instant fait partie des moments de coup de pouce que j'ai eu dans ma carrière. Je le range dans la même catégorie que mon premier match contre Bastia en Ligue 2 où j'apprends 10 minutes avant le coup d'envoi que je vais jouer et au bout de 30 secondes, je gagne un tête-à-tête avec Christophe Meslin qui se présente seul face à moi et on gagne 4-0… Je n'oublie pas non plus mon arrêt contre Strasbourg à la dernière seconde qui nous permet d'entériner notre montée en Ligue 1. Ce jour-là, je ne joue pas de l'année, je rentre en jeu parce que Johan Carrasso – qui fait une très belle saison – se blesse sur un penalty qu'il arrête et, à la dernière seconde, je vois débouler un attaquant qui se présente seul devant moi, qui peut faire monter Strasbourg et nous laisser en Ligue 2… Et à cet instant précis alors que je n'ai finalement pas beaucoup de repères puisque j'ai très peu joué, j'arrive à faire cet arrêt décisif… Bien sûr on peut te dire qu'il y a la chance, le travail, l'abnégation, que je n'ai rien lâché, mais, pour moi, ça dépasse l'aspect football.

Pour revenir au point de départ, avant le début la saison pourtant, vous étiez loin de penser au titre…
Il est vrai qu’on finit la saison précédente de manière un peu difficile avec une série de défaites en championnat, mais il faut remettre les choses dans leur contexte : On fait tout de même une finale de Coupe de la Ligue que l'on perd de justesse contre l’OM sans démériter et en gagnant ce fameux dernier match contre Bordeaux (défaite 2-0), on pouvait potentiellement remonter à la 11e place ; donc on ne peut pas dire que c'était une mauvaise saison bien au contraire.
C'est bizarre mais la première image qui me revient l'esprit, c’est l'arrivée de Vitorino Hilton. On savait que c'était un grand joueur, qu’il venait de l’OM, mais, à notre grand étonnement, il a parlé de coupe d'Europe et même de titre dès ses premières interviews. Ça m'avait un peu surpris et, au final, il avait raison.

nous avions remporté pas mal de matchs sans prendre de but, ce qui est très important pour un gardien

Comment as-tu vécu la phase aller ?...
Ce que je retiens d'abord, c'est le très bon match de Laurent Pionnier à Lille qui nous maintient dans le match et nous permet de nous imposer 1-0 là-bas face au Champion de France en titre (2ème journée) grâce à un but d'Olivier Giroud. Il avait effectué des arrêts décisifs et cela nous avait vraiment mis en confiance (Lors des 4 premiers matchs, Geoffrey était blessé et revient lors du match de Nice à La Mosson, succès 1-0 NDLR). Globalement, cette phase aller s’était très bien passée. Le mélange entre les jeunes et les anciens s'est très vite bien fait : le groupe était extraordinaire. On savait après notre beau parcours en Coupe de la Ligue l'année précédente qu'on avait du potentiel mais de là à imaginer tout ce qui s'est passé… On a très bien entamé la saison et, ensuite, tout s'est très vite enchaîné. Devant, Olivier Giroud marquait but sur but et, quand il marquait moins, on arrivait toujours à gagner ne serait-ce que 1-0 et à rester hermétique derrière… nous avions remporté pas mal de matchs sans prendre de but, ce qui est très important pour un gardien car cela veut dire que la défense avait été décisive et que j'avais été décisif aussi quand il le fallait. L'équipe était vraiment très solide. Au départ, on pensait d'abord au maintien, même si les victoires s'enchaînaient...

… Et la phase retour ?
Juste avant, nous avions perdu le titre honorifique de champion d'automne au profit du PSG lors du dernier match de la phase aller. Il faisait un froid de canard et c'était sans doute le pire match de la saison (défaite 4-2). Paradoxalement, ça nous avait fait une bonne piqûre de rappel avant d'entamer les matchs retour. Ensuite, je retiens notre très bon match nul au Parc des Princes (2-2), Avant la rencontre, nous aurions certainement signé pour match nul mais avec le scénario et l’égalisation parisienne en fin de match, nous étions presque déçus de ne pas l'emporter car nous avions fait un très gros match. Le match retour contre Evian avait aussi été décisif.  On fait 1-1, on a le penalty de la gagne et on le manque après une fin de match très chaude marquée par l'expulsion de Younes Belhanda). C'était un moment très compliqué mais le groupe avait su rester solide et faire face pour tout de même aller au bout.

Et puis il y a ce fameux match final à Auxerre…
Ah celui-là ! J'ai reçu beaucoup de choses dans ma surface de réparation. Les gens se souviennent des balles de tennis ; mais j'ai même reçu une salade de fruits ce jour-là (rires).

A auxerre, Pour rester dans mon match et ne pas trop gamberger, je me contentais de nettoyer la surface de réparation. C'était vraiment impressionnant tout ce que je recevais.

Comment avais-tu vécu ce moment-là ?
Paradoxalement je kiffe ! (Éclat de rire). Bien sûr qu'il y a eu des moments difficiles, mais je n'oubliais jamais que j'avais la chance de jouer au foot et de faire le rêve de ma vie. Je ne peux même pas vous dire que j'ai eu peur de perdre le match, car je n'y pensais même pas tellement j'étais concentré sur ce qui allait arriver. Pour rester dans mon match et ne pas trop gamberger, je me contentais de nettoyer la surface de réparation. C'était vraiment impressionnant tout ce que je recevais. J'avais quand même hâte qu'on reprenne le match pour finir et célébrer ce titre. J’étais sûr de la force de cette équipe, donc je n'étais pas inquiet. Toute l'équipe a eu le mérite de rester calme d'ailleurs.

… Et la fin du match ?
Se dire qu'on est champion de France, c’est  quelque chose d'extraordinaire, d'inimaginable ! Je me souviens de la foule qui commençait à envahir le terrain et de voir ma famille qui était là, alors que je ne le savais pas. C'était vraiment un grand moment d'émotion car j'étais très heureux de pouvoir fêter ça avec eux. J'étais aussi profondément ému et fier pour la famille Nicollin. Le club avait gagné la Coupe de France et l'autre titre majeur sur le plan national c'était de remporter ce titre de Champion qui paraissait inaccessible… et pourtant nous l'avons fait. Avec tout ce que la famille Nicollin a fait pour faire grandir ce club, être champion de France était vraiment quelque chose de magnifique pour eux. J'étais avant tout content pour eux car ils le méritait amplement.

Dominique Deplagne est quelqu'un d'exceptionnel. Il m'a beaucoup apporté sur le plan technique mais aussi dans son discours

Quel a été le rôle du coach, René Girard, dans ce sacre ?
Avec René, tout était très structuré, on savait avant de démarrer la semaine ce qu'on allait faire chaque jour, dont les fameuses pizzas du jeudi (rires). Ça fait partie des éléments qui fédèrent, qui donnent de la vie à un groupe. Ce petit rituel, associé à cette routine globale, nous ont permis d'aller loin parce que, justement, on savait où on allait. La particularité d’un gardien c'est aussi d'avoir deux entraîneurs. J’en profite donc pour rendre hommage à mon, entraîneur spécifique gardiens : Dominique Deplagne. Domi est quelqu'un d'exceptionnel. Il avait cette fraîcheur au quotidien qui nous faisait du bien. C'est quelqu'un qui m'a beaucoup apporté, qui m'a beaucoup aidé sur le plan technique mais aussi dans son discours. Je l’ai connu très jeune puisque je suis arrivée au club à l'âge de 15 ans. Je l’ai donc d’abord connu lors de ma formation, puis chez les pros.

As-tu des joueurs coéquipiers champion de France de temps en temps au téléphone ?
Nous sommes déjà quelques-uns au club à l'instar de Romain Pitau ou John Utaka ou Henri Bedimo. On en parle de temps en temps, c'est assez marrant d'ailleurs

Six ans plus tôt quand tu débutais en pro pourtant, le club était plus proche de la descente en National que du titre de champion de France… La preuve que tout va très vite fans le foot….
C’est vrai. J’avais déjà disputé quelques matchs en Ligue 2 mais j'ai réellement été lancé lors des quatre derniers matchs de la saison 2006-2007 où nous nous sommes sauvés de justesse en L2. À cet instant précis, on avait pas mal de points de retard sur le premier non relégable, c'était très mal engagé et nous étions parvenus à arracher ce maintien en faisant une belle série. Ensuite, tout est presque reparti de zéro, le club a très bien recruté et on a connu l’ascension jusqu’au titre de 2012. Honnêtement, avec le recul, je ne sais pas si aujourd'hui, à 35 ans, j'aurais pu me jeter dans le grand bain de ces 4 derniers matchs avec tout ce que ça impliquait dernière : une descente, peut-être des licenciements de salariés… Heureusement que j'avais 21 ans à l'époque. Ce serait certainement plus dur à aborder aujourd’hui

LE CLUB, LE PRÉSIDENT, LES SUPPORTERS

Le Président Laurent Nicollin m’a permis d'intégrer le club pour passer mes diplômes (que j'ai obtenu) et je lui en suis très reconnaissant

Quel regard portes-tu sur le club aujourd‘hui ?
Même s’il y a eu quelques moments difficiles juste après le titre, ce qui est quelque part logique après ce sacre qui était assez inattendu, le club fait vraiment un travail remarquable en termes de recrutement, de qualité de joueurs sur le terrain mais aussi en termes de mentalité. Je leur souhaite de tout coeur de poursuivre dans cette voie. J'ai la chance d’avoir participé à ce titre de 2012 et je souhaite aux supporters qui étaient déjà en 2012 de le revivre et aux supporters qui ne l'ont pas vécu de connaitre ça un jour

Que deviens-tu aujourd’hui ?
Le Président Laurent Nicollin m’a permis d'intégrer le club pour passer mes diplômes (que j'ai obtenu) et je lui en suis très reconnaissant. Je prends vraiment du plaisir en entraînant les jeunes gardiens du club.

Il y a eu pas mal d'incompréhensions entre nous (avec les supporters). C'est en partie de ma faute car j'ai parfois des difficultés pour m'exprimer, mais ce sont des gens extraordinaires. C'était un plaisir de jouer avec le soutien de la Butte derrière moi

Comment définirais-tu ton attachement au club ?
Il est énorme. Le Montpellier Hérault est vraiment très important pour moi. Ce club fait partie intégrante de ma vie. C'est comme une famille. Je suis arrivé au club à l’âge de 15 ans et j'en suis parti à 32 ans en y vivant des moments magnifiques. C'est un honneur pour moi d'avoir pu participer au maintien en Ligue 2, puis au retour au premier plan du MHSC jusqu’au titre de Champion de France, sans parler de la Ligue des Champions juste derrière. Je suis fier d'avoir pu participer à de tels moments de l'histoire du club.

Si tu avais un message pour le Président et les supporters. Que leur dirais-tu ?
Le premier mot – et le plus important – c'est merci. Merci au Président de m’avoir fait confiance, de m'avoir soutenu. Avoir pu rencontrer Louis et Laurent Nicollin, c'était une chance extraordinaire pour moi car ce sont des personnes fabuleuses, des gens extraordinaires en termes de charisme mais aussi de simplicité. Pour moi ce sont des exemples et j'ai été un privilégié de les côtoyer. Ce sont des personnes de grande valeur.
Concernant les supporters, je les remercie chaleureusement. Lors de mon départ à Nancy (à l’été 2017), je n'avais pas eu le temps de leur dire au revoir. Je ne dirais pas que c'était houleux entre eux et moi – ce n'est pas le bon terme – mais il y a eu pas mal d'incompréhensions entre nous. C'est en partie de ma faute car j'ai parfois des difficultés pour m'exprimer, mais ce sont des gens extraordinaires, un public passionné. C'était un plaisir de jouer avec le soutien de la Butte derrière moi ; tout ce bruit, cette chaleur, ces encouragements... Tu sentais vraiment grâce à eux que ça n'allait pas être facile pour l'adversaire de prendre des points à La Mosson. Comme je le disais, j'ai parfois des soucis d’élocution et je n'ai pas toujours su exprimer ce que je ressentais de positif grâce à eux, chose que j'ai la chance de pouvoir faire aujourd'hui avec le recul. Quoi qu'il en soit, mon amour pour les supporters était réel et sincère. Quand je rentrais sur le terrain, j'étais fier d'être le gardien du MHSC et d’avoir ces supporters là à mes côtés. Ils nous ont souvent permis d'obtenir des points grâce à leurs encouragements et je suis sûr que ce sera encore le cas aujourd'hui et demain

Le TOP quizz de Geoffrey Jourdren

  • Son meilleur souvenir cette année-là : « Le sacre sur La Comédie noire de monde »
  • Le match le plus fou : « La victoire à Auxerre, par son scénario »
  • Le match le plus difficile : Notre victoire 5-3 contre Dijon à La Mosson. Nous n'étions pas dedans, on se retrouve mené 2-0… Mais heureusement on arrive à l’emporter. »
  • Le match où il a commencé à croire au titre : « Paradoxalement, je n'ai jamais vraiment pensé que nous pouvions être champion. J’ai commencé à réaliser quand nous nous sommes mathématiquement qualifiés pour la Ligue des Champions, juste après la victoire à La Mosson contre Lille. »
  • L'anecdote qu’il n'a jamais osé raconter : « Après le nul 2-2 contre Evian à La Mosson, je me souviens d’avoir cassé mon portable dans le vestiaire ; tellement j'étais en colère. Je recevais des messages pour me rassurer en me disant que ce n'était pas grave, mais au fond de moi je me disais que ce match pouvait être le tournant de notre saison. Heureusement tout le monde a su rester solidaire et ça s'est bien terminé pour nous. »
  • Le but et l’arrêt qui l’ont le plus marqué : « Mon arrêt préféré remonte à plus loin : c'est celui contre Strasbourg l'année de la montée »Aït-Fana le décalage pour Karim Giroud « Le but, je dirai celui de Lille après un superbe rush d'Olivier »

La stat’ : 74

Geoffrey Jourdren est le gardien qui a réalisé le plus de clean sheets avec le MHSC (74). « Quand on connaît la signification de ce chiffre par rapport au club et bien sûr à notre Président-fondateur Louis Nicollin, souligne-t-il., Je suis fier d'avoir atteint ce chiffre. C'est un signe du destin hautement symbolique.

 

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